Encore une frontière de passée ! Nous sommes en Hollande ! Et nous avons franchi les 500 kilomètres à vélo. C’est une chouette étape que nous avons eu aujourd’hui.

Ce matin commence par unepartie de Prncesses et Dragons qu’un copain de Loïc a créé avec sa fille. Les garçons ont vite pigé les règles.

Les toilettes du matin sont sympas aujourd’hui, le camping possède des lavabos à hauteur des enfants.

Nous prenons la route sous un ciel un peu couvert mais le soleil revient assez vite. Loïc adore son pantalon/short, il arrive même à passer en short en cours de route ! 😂😂

Nous avons décidé de ne pas suivre la côte aujourd’hui, nous en avons pas mal fait et nous espérons avoir un peu moins de vent aussi 😁. Les routes qu’OSMAnd nous a choisi sont supers. Il y a des pistes cyclables partout, en ville et en campagne. L’infrastructure de Belgique et Hollande est beaucoup plus axé vélo qu’en France. C’est vraiment chouette de pédaler ici.

Tellement chouette que nous ne nous rendons pas immédiatement compte que nous sommes passés en Hollande !

Il y a des pistes spacieuses, des tunnels pour éviter les rond-points, des déviations quand il y a des travaux, … Rien n’est oublié et les moyens sont mis au service du vélo, piétons, trotinettes et petits 2 roues à moteur.

Le midi, nous nous arrêtons pour le pique-nique dans une zone protégée nommée Bos Van Erasmus. Une table de pique-nique nous tend les bras et une balade en forêt nous était preparée ! 😉

Plus que quelques kilomètres pour atteindre le Ferry pour rejoindre la première île de Hollande où nous dormirons. Nous faisons un crochet dans une petite zone urbaine qui nous a intrigué sur la carte. Il y a une zone de jeux en plein milieu et les constructions sont concentriques à partir de ce point.

Après cette petite pause, nous grimpons de l’autre côté de la digue pour prendre le ferry. Nous arrivons juste à l’heure pour prendre le Ferry qui part. Nous attachons les vélos dans la « cale » et montons admirer le paysage et les bateaux de marchandises.

Nous voyons venir la traversée de la ville où nous dormons, le camping est de l’autre côté. Nous attachons à nouveau le vélo d’Eliott mais finalement pour rien car nous n’avons pas touché plus de 100 m de route sur les 6 km jusqu’au camping. Nous allons proposer beaucoup plus à Eliott de pédaler seul.

Nous montons la tente et partons tout de suite à pied, à remorque (elle n’a même pas servi là, Arthur n’a fait que courir après le vélo de son frère) et à vélo pour Eliott faire quelques emplettes pour manger.